Générique
Dans la chambre de Peyton, elle parle avec son père avec leur Webcam
Larry : Salut chérie !
Peyton : Salut, tu te laisses pousser la barbe papa ?
Larry : Ouais, ça me donne un petit air de George Clooney ! Hein ?
Peyton : Ouais ! Sur !
Larry : Tu te moques de moi là ? C’est vrai que t’as pas l’habitude de me voir comme ça. En mer je me laisse pousser la barbe mais je rase toujours tout la veille de mon retour à la maison, c’est un petit rituel porte bonheur.
Peyton : Tant que tu retrouves ton rasoir d’ici après demain !
Larry : Quand je travaillerais près de chez nous, je me raserais tous les jours.
Peyton : D’accord !
Larry : Salut Brooke ! Salut le jardinier amateur ! Je vois que vous ne savez toujours pas utilisez la sonnette !
Brooke : La barbe de rebelle, ça vous rend encore plus viril.
Larry : Alors qu’est ce que vous faites là de si bonheur tous les 2 ?
Brooke : Aucune idée, c’est Peyton qui nous a dit …
Peyton : Non on t’en diras pas plus, tu verras en rentrant !
Larry : Je peux avoir un indice ?
Peyton : Non je t’aime, papa. A dans 2 jours.
Larry : J’espère bien que tu m’aimes ! Je t’embrasse chérie.
Peyton : Oui, moi aussi.
Brooke : C’est quoi ta surprise ?
Peyton : Je vais avoir besoin de votre aide venez !
Dehors, devant une voiture rouge.
Lucas siffle : Wou elle est magnifique ! C’est à ton père ?
Peyton : Ouais, ça fait un an qu’elle est garée là. Tu crois que tu pourrais la démarrer ?
Brooke : Je suis sur que oui ! J’ai hâte de te voir jouer les mécanos sexy avec un débardeur et plein de cambouis partout.
Peyton : Pendant qu’il l’a répare, tu voudras bien m’aider à la faire briller ?
Brooke : Oui bien sur.
Peyton : Mon père a accepté de renoncer aux déplacements, alors je veux lui faire plaisir !
Lucas : Ca devrait allez, je vais chercher mes outils
Chez Dan, ça sonne, Nathan ouvre.
Grand-mère May : Surprise !
Grand-père Roy : Tu accueilles les gens en caleçon ?
Nathan : Grand-mère, grand-père, mais qu’est ce que vous faites là ?
Deb : Roy ! May ! Ça pour une surprise !
Roy : On voit que ça vous fait plaisir ! Je t’avais dit que c’était pas une bonne idée !
May : Mr. Ton beau père me traîne encore à un de ses salons automobiles …
Roy : C’est toi qui as insisté.
May : Oui car je voulais passer par ici pour souhaiter un joyeux anniversaire à mon Danny !
Deb Oh oui ! Dan, bien sur ! L’anniversaire !
Nathan : Ah ! Ouais.
Roy : Bon, on a le droit d’entrer ou vous nous laisser mourir de froid jusqu’à ce soir ?
Deb : Oh euh !
Nathan : Je vous en prie …
May : Embrasse grand-mère Nathan !
Roy : Tu t’es étoffé un peu, c’est bien. Tu as l’air plus en forme.
A la concession de Dan
Voix : Un commercial est demandé dans le hall d’accueil.
Deb : Dan !
Dan : Tu te rappelles la date ? Ca me touche !
Deb : Je ne suis pas venu te souhaiter ton anniversaire. Mais tes parents si par contre.
Dan Pardon ?
Deb : Ils ont débarqué à la maison. Apparemment, tu ne leur as pas dit que tu n’y habitais pas en ce moment.
Dan Ou ! Comment ils ont réagi ?
Deb : Qu’est-ce que tu crois, je ne leur ai pas dit. C’est à toi de leur annoncer qu’on est séparé.
Dan Combien de temps ils vont rester ?
Deb : Ils s’en vont demain mais ce n’est pas fini, ta mère veut organiser un beau repas d’anniversaire.
Dan Bravo, bon alors qu’est qu’on va faire ?
Deb : Qu’est-ce que toi tu vas faire, tu veux dire ? Tu vas aller tout de suite à la maison pour annoncer notre séparation à tes parents.
Dan Tout n’est pas encore fichu. Si on va voir la psy c’est pour sauver notre couple, non ?
Deb : C’est vrai.
Dan En plus tu connais mes parents, tu veux vraiment qu’ils se mêlent de nos affaires personnelles. Déjà quand on leur a annoncé qu’on aurait pas d’autres enfants, mon père t’a appelé 15 fois, alors si je lui dis qu’on se sépare, il va nous rendre la vie impossible !
Deb : Donc tu veux qu’on leur cache ?
Dan Pour l’instant, on ne dit rien, on fait comme si de rien n’était ce soir, ça sera plus simple pour tout le monde. Et puis pense à nous, ça nous ferait peut être du bien de nous retrouver comme avant en famille.
Deb : Si tu veux, j’accepte pour ce soir.
Dan : Pour ce soir, c’est tout.
Au Karen’s café
Haley : Bonjour monsieur, table ou comptoir ?
Roy : En fait, je passer voir Karen.
Haley : Elle est partir en Italie suivre un stage de cuisine.
Roy : Pas mal, et comment va son fils ?
Haley : Lucas va très bien. Karen téléphone régulièrement, vous voulez lui laissez un message ?
Roy : Non ça ira, je la verrai la prochaine que je passerais par ici.
Haley : D’accord. Est-ce que je peux quand même lui dire qui est passé ?
Roy : Un vieil ami.
Deb sort de l’arrière cuisine et sourit.
Devant chez Peyton
Lucas : Bon, la batterie ça va. C’est sûrement le démarreur.
Brooke : Tu peux réparer ce truc là ?
Lucas : Ouais, y a pas de problème ! (Brooke entre dans la voiture). Ah c’est une bagnole géniale.
Brooke : Et t’es un mec génial (en le tirant vers elle par le collier et en l’embrassant).
Lucas : C’est pour ça que tu m’as acheté ce collier ?
Brooke : Hum, hum !
Lucas : Ouais ! (Peyton arrive) Bon on va commencer les choses sérieuses.
Brooke : C’est ce que j’allais faire, figure toi ! Bah t’en fais une tête !
Peyton : J’ai peur pour mon père (Ils vont dans sa chambre). Il y a un ouragan de catégorie 3 qui se dirige vers son lieu de dragage.
Lucas : Tu t’es connecté sur sa Webcam je suppose ?
Peyton : Oui elle est éteinte.
Brooke : Il n’a peut être pas allumer son ordinateur.
Peyton : Ou leurs communications sont coupées.
Lucas : Ca c’est pas grave, ça doit arriver à chaque tempête. De toute façon, il est énorme sont bateau !
Peyton : Il ne doit plus être sur le bateau de dragage. Lorsqu’il y a une alerte météo, il retourne au port dans un tout petit bateau de transport, c’est pour ça que je m’inquiète à ce point là.
Lucas : Arrête ! Je vois pas à quoi ça sert de te torturer, c’est pas parce qu’on a pas de nouvelle qu’il a eu un problème.
Peyton : Y a aucun moyen de le savoir.
Nathan et Haley dans la rue
Haley : Alors vous allez dîner ensemble pour l’anniv de ton père ? Ca va pas être drôle !
Nathan : Ca va être horrible tu veux dire ? Ma grand-mère est cool, mais mon grand-père, il est pas facile ! T’as vu mon père ? Alors imagine comment est l’homme qui l’a élevé !
Haley : Ca fiche la trouille !
Nathan : Ouais ! Si tu venais manger avec nous ? Il se tiendrait peut être mieux devant toi !
Haley : Si ça te fait plaisir j’accepte !
Nathan : Non je plaisantais ! Je peux quand même pas te faire ça !
Haley : Nathan, si tu m’invitais à venir, je te répondrais oui !
Nathan : Bon, alors je t’invite, c’est officiel !
Haley : Alors j’accepte officiellement
A la concession de Dan
Dan (à un client) : C’est le modèle prestige. Finition anthracite, intérieur cuir véritable et tableau de bord en bois vernis.
Roy : Où est le gérant de cette boite ?
Dan : Excusez-moi.
Roy : Attention l’ami, vous savez à qui vous avez à faire ?
Le client : Il y a un problème ?
Roy : Vous allez achetez une voiture à Dan Scott, le héros du basketball local ! Recordman depuis 20 ans pour le nombre de points marqués pour Tree Hill. Finaliste national au lycée.
Le client : C’est vrai ?
Roy : Vrai de vrai !
Dan : Mon père.
Le client : Oh ! Je m’en doutais ! Vous n’avez pas continuez à la fac ?
Roy : Il aurait du, normalement si son genou n’avait pas lâché en première année, il aurait pu devenir champion !
Dan : Arrête papa, Mr. Miller a autre chose à faire. Passez donc dans mon bureau. J’arrive dans une minute.
Le client : D’accord !
Dan : Vous prenez l’option prestige ?
Le client : Ouais, ouais.
Dan : Très bien.
Roy : Quoi ? Si je suis fier de mon fils j’ai bien le droit de le dire ?!Est-ce que tu te rends compte que c’est grâce à ça que ton client a choisi la série prestige ?
Dan : T’es toujours mon plus grand supporter !
Roy : Ouais ! Eh t’es toujours en forme ! C’est bien, ça !
Chez Dan,
Dan : Déborah, j’ai appelé Nathan pour lui demander de ne pas dire à mon père qu’il n’allait plus aux entraînements de basket.
Deb : Il a même quitté l’équipe !
Dan : Ne joue pas sur les mots ! J’ai aussi dit à Keith d’éviter de parler de ça.
Deb : Il y a d’autres sujets sur lesquels tu veux que je mente ?
Dan : Je veux seulement protéger notre fils de mon père.
Deb : Tu te rends compte à quel point c’est ironique ?
Dan : Maman, tu embellie d’année en année !
May : Tu oses me mentir à ta mère ! Tu devoir avoir honte !
Dan : Je te ferais plus de compliments si c’est comme ça.
May : Tu as l’air fatigué.
Roy : Et fiston t’as pas invité l’équipe des Charlottes Hornets ?
Dan : Non ils ne sont passez bon, tu crois qu’ils ont une change cette année ?
Roy : Non !
May : Interdiction de parler sport ce soir.
Roy : Quel rabat joie !
May : Assieds toi !
Roy : Oui mon capitaine. J’ai l’honneur de m’asseoir à côté de Mr. Scott.
Ca sonne, May va ouvrir.
May : Keith !
Keith : Bonsoir maman, content de te voir !
Roy : Ah ce que je vois tu as mis ta tenue de soirée !
Keith Content de te voir aussi papa. Bon anniversaire Dan !
Dan : Ouais merci !
May : Allez mon grand assied toi.
Deb : Bonsoir Keith.
Keith Salut Deborah.
May : Danny, tu nous sers un verre de vin s’il te plait ?
Dan : Je m’en occupe !
Keith Bonne idée ! Au fait maman, il faudrait rajouter un couvert, j’ai invité quelqu’un.
May : Tu entends ça Roy ? J’espère qu’elle est jolie.
Nathan : Bonsoir grand-père, grand-mère, voici Haley.
Haley : Bonsoir.
Roy : Haley, ravie de faire ta connaissance.
Haley : Oui moi aussi.
Roy : Nathan tu ressembles de plus en plus à ton paternel, maintenant tu sais d’où lui vient son charme Haley. Venez par ici les enfants. Assieds toi à coté de moi.
Haley : Merci
Ca sonne
May : Je vais ouvrir.
Roy : Ben ça alors ! Whitey!
Whitey : Bonsoir Mrs. Dames.
Roy : Bonsoir.
Whitey : Désolée du retard. Alors Roy ? Ca va depuis le temps.
Roy : Non, je lis pas mais ça va.
Nathan : C’est bien que tu sois là.
Haley : Ouais
Chez Peyton, dehors dans la voiture, Brooke et Lucas
Lucas : Bon allez ! Vas-y réessaye.
Brooke (réussissant à faire démarrer la voiture) : T’as réussi ! Ca marche ! Peyton ?! T’as vu, ça y est ! (Peyton arrive, les larmes aux yeux) Qu’est ce qu’il y a ?
Peyton : On vient de me téléphoner. L’ouragan est territ. Et il n’y a aucune nouvelle du bateau de transport de mon père. Ils étaient trois à bord, un corps a été repêché.
Lucas : Et qu’est ce qu’ils t’ont dit ?
Peyton : Je dois allez identifier un homme.
Chez Peyton, dans sa chambre
Lucas : T’es de pas vouloir prévenir ta grand-mère ?
Peyton : Non, je veux pas lui faire peur. Toute façon, c’est pas possible que ce soit mon père.
Brooke : Non y a pas de raison.
Peyton : Bon, autant partir tout de suite, on a au moins 4h de route.
Brooke : 4h de route ? De nuit et dans la tempête ?
Peyton : Le temps qu’on arrive là-bas, la tempête sera sûrement déjà calmé.
Lucas : Attends ! En arrivant au port, ton père va sûrement t’appeler, vaut mieux que l’un de nous reste là.
Brooke : Moi je vais attendre ici, toi tu emmènes Peyton.
Lucas : T’es sur ?
Brooke : Oui Lucas, toi tu sais toujours quoi faire dans les situations de crise. Je veux dire, y a pas de raison que ça se passe mal mais au cas où, c’est lui t’aidera le mieux. Alors … je t’adore, ça va aller (en enlaçant Peyton). Tes le meilleur (à Lucas en l’embrassant). Je vous appelle si j’ai du nouveau.
A l’anniversaire de Dan
Roy : Alors Whitey l’équipe est bien cette année ?
Dan : Oui pour l’instant on est invaincu. Sinon t’es toujours fou des bulls, papa ?
May : Les garçons ! J’avais dit pas pendant le dîner ! Vous parlerez de sport tout à l’heure !
Dan : Tuas raison maman, je suis désolé !
Roy : C’est quoi ta moyenne de point par match en ce moment Nathan ? Ton père était à 27.5, lui. Tu fais mieux que ça ?
May : Roy je viens de te dire …
Roy : Je m’intéresse à mon petit fils mais …
Nathan : Euh papa le sait sans doute mieux que moi.
Dan : 24 points par match, je crois.
Roy : 24 points par match c’est pas mal. Mais va falloir faire mieux pour battre ton père. Ah c’était un vrai champion, il aurait fait des merveilles dans l’équipe universitaire s’il n’avait pas eu de problème de genou le pauvre. Ca va toi les genoux ?
Nathan : Ouais ça va.
Haley : Il a de splendides genoux !
Roy : Enfin heureusement Danny est un battant, comme son père. Il a forcé le destin, pour réussir dans un autre domaine, alors que Keith lui n’a aucune ambition, il tient de sa mère.
May : Et il a de la chance !
Keith : On va trinquer ensemble maman, je vais chercher une bouteille.
May : Bon je vais m’occuper du gâteau.
Haley : Je vais le faire Mme Scott. Nathan, tu veux bien m’aider ?
Nathan : Ouais, ouais, le gâteau bien sur !
Haley et Nathan dans la cuisine
Nathan : Je t’avais dit que l’atmosphère serait tendue !
Haley : Ca c’est rien de le dire !
Nathan : Y a une porte juste derrière toi, on pourrait s’enfuir ! Ils viendront pas nous chercher.
Haley : C’est tentant. Ils viennent souvent vous voir tes grands-parents ?
Nathan : 2-3 fois par an pourquoi ? T’as un truc à me dire Haley ?
Haley : Non, pourquoi ?
Nathan : Quand tu fais cette tête là, c’est que tu veux me dire quelque chose mais que tu sais pas si tu peux !
Haley : Pas du tout. Et t’aurais pas du t’en rendre compte si vite !
Nathan : Vas-y, je t’écoute.
Haley : Ton grand-père est passez au café tout à l’heure, il voulait voir Karen.
Nathan : Quoi ?
Haley : Mouais ! J’ai l’impression qu’il vient la voir régulièrement depuis des années.
Nathan : Lucas t’en a déjà parlé ?
Haley : Non il ne le connaît même pas ! Mais ton grand-père a demandé de ces nouvelles quand il est passé ce midi.
Nathan : Ah j’y comprends rien du tout ! Il parle de mon père comme d’un héros national ! Il peut pas être ami avec karen, c’est ridicule !
Haley : C’est vrai que c’est bizarre mais garde ça pour toi d’accord ?
Nathan : De toute façon vu l’état de ma famille, rien ne pourrait ni aggraver ni améliorer la situation alors t’en fais surtout pas !
Sur la route, Lucas et Peyton
Lucas : T’as pas froid ?
Peyton : J’ai l’habitude, le chauffage n’a jamais fonctionné.
Lucas : Si tu veux je demanderai à Keith de le réparer, je suis sur que lui, il y arrivera. Tu veux qu’on fasse une pause café ?
Peyton : Peut être plus tard merci. C’est génial ce que tu fais pour moi.
Lucas : Les amis sont là pour ça.
Peyton : Ouais.
Arrivés à un pont bloqué
Mr. Du service public : Avancez les plots, il faut que la signalisation soit visible de loin !
Peyton (à Lucas) : Qu’est-ce qui se passe ?
Mr. N°2 du service public : Mais si ils sont en plein vents les fils risquent de lâcher ! Alors laissez ceux qui sont devant !
Lucas : Qu’est-ce qui se passe ?
Mr. Du service public : Le port est fermé à cause de la tempête. Il rouvrira demain.
Peyton : C’est une urgence ! Il faut absolument que vous nous laissiez passer !
Mr. Du service public : Impossible Mlle, c’est trop dangereux.
Lucas : Bon alors y a un autre moyen de traverser ?
Mr. Du service public : Oui, le ferry mais y a trop de vent pour qu’il appareille ce soir.
Peyton : Alors qu’est-ce qu’on peut faire ?
Mr. Du service public : Le pont sera rouvert demain matin à 6h. Il faut attendre. Y a un motel juste avant. Vous devriez prendre une chambre s’il en reste encore. C’est bon, on va pouvoir y allez.
Mlle du talkie-walkie : Ne quittez pas, Restez à proximité du pont en cas d’urgences, l’unité 4 viendra vous relever dans 2h. Terminé.
A l’anniversaire de Dan, il souffle ses bougies
Roy : Bravo fiston, alors Nathan vous allez gagnez le championnat cette année ?
May : Ca y est ! Tu recommences !
Roy : Si ça ne t’intéresse pas, ne nous écoute pas ! Seulement j’ai le droit de savoir comment mon petit fils joue tout de même !
Dan : Mais papa je te l’ai dit.
Roy : Non Dan tu ne m’en as pas parlé du tout. Et chaque fois que je pose la question, tu changes immédiatement de sujet. Alors est-ce que quelqu’un va m’expliquer ce qui se passe ici ? Nathan ? Whitey ? Répondez !
Whitey : Nathan je crois que c’est plutôt à toi de répondre.
Nathan : Je suis plus dans l’équipe, j’ai laissé tombé.
Roy : Quoi ? Comment ça ? Tu as laissé tombé l’équipe ?
Dan : Non papa il fait juste une pause, ce n’est pas définitif !
Déborah : Tu sais très bien que c’est faux, arrête de mentir Dan.
Roy : Nathan, tu aurais pu au moins me le dire ! Depuis quand est-ce qu’on se ment dans cette famille ?
Nathan : C’est bien à toi de dire ça !
Roy : Ca veut dire quoi exactement ?
Nathan : Je sais que tu vas voir Karen au café. Tu nous l’a jamais dit ça !
Haley : Nathan !
Roy : Si je n’ai rien dit c’est que ça ne te regarde pas. Je crois que certaines personnes parlent un peu trop !
Nathan : Fous lui la paix grand-père !
Roy : Je t’interdis de me parler sur ce ton !
Déborah : Ca suffit Roy, vous ne ferez pas la loi à ma table. Le problème, ce n’est pas Nathan.
May : Est-ce qu’on pourrait m’expliquer ce qui se passe ?
Déborah : Dan a tellement poussé Nathan depuis 6 ans pour en faire un champion de basket …
Dan : Arrête Déborah … !
Déborah : … à force la pression est devenue si forte que Nathan a pris de la drogue pour …
Roy : De la drogue ?
Déborah : Du coup il a fait un malaise, et il a atterri aux urgences. Nathan a fini par risquer sa vie et tout ça pour être aussi bon que son père à un jeu stupide ! Mais Roy, ce n’est pas la faute de mon fils, c’est la faute du votre !
May : Danny ? Comment est-ce que, toi, tu as pu faire ça ? Tu es devenu fou ? Ou alors c’est que tu as oublié à quel point tu étais malheureux quand ton père te mettait la pression ?
Roy : Il avait l’étoffe d’un champion.
May : J’ai menti pour toi pendant des années, je t’ai aidé à tout quitter, tu n’en pouvais plus, tu avais besoin de moi, tu te souviens ? Et j’ai toujours gardé ton secret ! Comment peux-tu faire subir le même enfer à ton fils ?
Roy : Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?
May : À l’université, Danny a bien été blessé au genou mais ce n’était pas permanent. C’est lui qui a voulu arrêté, on t’a menti …
Roy : Il a abandonné le basket ?
Dan : Non j’aurais voulu continuer …
May : Arrête de mentir, Dan, il fallait bien qu’il l’apprenne un jour !
Roy : Je comprend rien c’est quoi cette histoire de fou ?
May : Tu n’étais pas avec nous à l’hôpital quand son genou a lâché, on t’a dit ce qu’on a voulu !
Roy : Dan, tu m’as parlé d’une faiblesse héréditaire des ligaments ? Tu a dis …
Dan : C’est vrai !
Roy : Tu as dit que c’était inopérable !
May : Essaie de comprendre, ton fils savait qu’il n’avait pas la moindre chance de devenir champion de basket et toi tu refusais de t’en rendre compte. Danny étais pris au piège de tes ambitions, c’était l’échec assuré. Il ne voulait pas te décevoir alors il a tout arrêté. Il n’avait pas d’autres choix !
Roy : Non seulement tu as baissé les bras mais tu n’as même pas eu le courage de l’admettre !
Dan : Laisse-moi t’expliquer papa …c’est plus compliqué que tu ne le crois.
Roy : Non …
Nathan : Moi aussi, Allez viens Haley je te ramène.
Haley (en se levant) : C’était délicieux.
Whitey : Bon et ben moi je crois que je vais y allez aussi. Merci May, Deborah. Et joyeux anniversaire Danny.
May : Danny je veux que tu saches …
Dan : Pourquoi ?? (Il s’en va).
May : Bien je vais allez faire la vaisselle.
Au motel, Peyton et Lucas rentre dans une chambre
Peyton : Puisqu’on coincé ici, autant essayer de dormir un peu et puis on se pointera au pont dès l’ouverture. Qu’es-ce qu’il a dit déjà 6h ?
Lucas : On ira voir à 5h. (Peyton rigole) Qu’est-ce qu’il y a ?
Peyton : On est pressé d’aller voir si mon père est mort. Je trouve ça assez surréaliste !
Lucas : Ouais je comprends que ça te perturbe.
Peyton : T’as déjà fait un cauchemar où tu dois aller quelque part et t’as l’impression que tu pourras jamais y arriver ?
Lucas : Ouais.
Peyton : J’aimerais me réveiller maintenant.
Lucas : Ca te ferait du bien de te reposer un peu, tu veux bien essayé ? (Elle hoche la tête) D’accord. (En regardant le lit) Je vais dormir par terre.
Peyton : Ne sois pas idiot.
Il va éteindre la lumière et s’installe à coté de Peyton dans le lit
Lucas : Peyton ? J’aimerais pouvoir faire quelque chose ou dire quelque chose pour t’aider.
Peyton : Tu m’aides déjà, merci Lucas.
Lucas : Bonne nuit.
Peyton : Bonne nuit.
Devant chez Haley, Nathan et elle
Nathan : Désolé que t’es du subir ça.
Haley : Non, c’est pas grave, je comprends mieux la situation.
Nathan : C’est drôle, depuis que je suis tout petit, y a des choses qui sont des vérités absolus dans ma famille, comme par exemple le fait que mon père serait devenu un champion s’il n’avait pas eu sa blessure au genou. Et aujourd’hui, aujourd’hui je me rends compte qu’il m’a menti depuis des années en me disant qu’il a failli devenir pro. Et que je pourrais jamais être aussi bon que lui. Quel pauvre type !
Haley : Dis toi qu’au moins tu connais la vérité.
Nathan : Ouais, mais je sais pas quoi en faire.
Haley : Ca va aller, bonne nuit.
Nathan : Bonne nuit.
Haley : Si tu as besoin de moi tu m’appelles ?
Nathan : D’accord.
Ils s’embrassent, elle part vers la porte.
Nathan : Tu sais tout à l’heure chez moi, quand je me plaignais de l’état de ma famille, je t’ai dit que rien ne pouvais aggraver ou arranger les choses ?
Haley : Ouais ?
Nathan : J’avais tort.
Chez Dan, il est assis dans son bureau quand quelqu’un frappe, il se retourne, c’est Nathan.
Dan : Tu veux entendre ma version ?
Nathan : Ca changera pas grand-chose ! Tu m’as toujours poussé à bout alors que tu savais exactement ce que ça faisait ! Je t’en veux encore plus depuis que je sais que t’es passé par là !
Dan : J’étais vraiment le meilleur Nathan, du moins au lycée, parce qu’une fois à l’université, j’ai su que ça ne serait plus le cas. Mon père se voilait la face, ça faisait aussi de la peine à ta grand-mère, alors quand j’ai eu cette blessure, elle m’a supplié d’en profiter pour que j’arrête la compétition, elle a dit que ce serait mieux pour nous tous ! Elle m’a convaincu ! Mais ce jour là j’ai pris la pire décision de ma vie. Au début, ça ma fait du bien de ne plus avoir mon père sur le dos, mais très vite j’ai compris que ce n’est pas pour mon père que je jouais et que le basket c’était toute ma vie. Jusque là j’avais jamais pris le temps d’y réfléchir, alors j’ai voulu reprendre en faisant de la rééducation, de la muscu, mais c’était trop tard. Mon genou c’était mal remis, c’était fini pour moi.
Nathan : Ca ne te donne pas le droit de te traité n’importe comment.
Dan : C’est vrai que parfois, je suis un peu dur avec toi, mais c’est pour t’éviter de passer ta vie à regretter de pas avoir saisi ta chance.
Nathan : C’est maintenant que je suis malheureux, je trouve pas ça mieux !
Dan : Moi j’ai été faible à l’époque, mais je vais t’aider à être plus fort parce que je ne veux pas que te retrouves dans ma situation.
Nathan : Dans ce cas là, t’inquiètes pas, je ferais tout pour pas finir comme toi !
Au motel
Lucas : Ca va ?
Peyton : Ouais.
Lucas : C’est ton bracelet ?
Peyton : C’est mon père qui me l’a offert. Il l’a fait gravé : « avec tout mon amour, papa » C’était mon cadeau d’anniversaire. Si ça se trouve c’est lui.
Lucas : Je suis sûr que non, Peyton.
Peyton : Qu’est-ce que je deviendrais ?
Lucas : T’en fait pas.
Peyton : J’essaie de me préparer en l’imaginant sur un brancard à la morgue mais c’est trop dur ! On dirait que c’est toujours comme ça, c’est justement quand tout a bien que les trucs les plus terribles te tombent dessus.
Lucas : Arrête d’envisager le pire, ça ne sert à rien. Ton père préférait que tu restes positif non ? T’as besoin de te reposer.
Elle se retourne, il l’a regarde.
Dans le salon de Dan, Déborah est assis sur un fauteuil, Dan la rejoint avec une couverture
Dan : Va dormir dans la chambre, je vais prendre le canapé.
Deb : Je réalise que tu nous as imposé une vie de mensonges à tous les 2, Dan. Tu ne t’es jamais senti coupable en 20 ans ? Parce que quand ta soi-disant blessure a mis fin à ta carrière et que tu as pris la décision de renoncer à tes études, j’ai arrêté les miennes aussi.
Dan : On est venu ici pour élever Nathan. Ne réécris pas l’histoire !
Deb : Tu veux garder pour toi ce privilège ? Je croyais connaître l’homme que j’ai épousé mais en fait il me ment depuis toujours.
Dan : J’ai vraiment été blessé. Oui j’ai renoncé à la rééducation au début, c’est vrai. Mais après j’ai changé d’avis, j’ai fait tout ce que je pouvais. De toute façon c’était mieux pour nous et pour Nathan. Je comprends que tu m’en veuilles de ne t’avoir rien dit il y a 20 ans mais je n’ai pas fait ça seulement pour moi, je l’ai fait aussi pour vous protéger.
Deb : C’est ça, crois ce que tu as besoin de croire.
Dan : C’est la vérité.
Deb : La vérité ? Qu’est ce que tu y connais ?
Deborah s’en va.
Au motel, Lucas rentre dans la chambre avec des provisions. Peyton se lève un peu.
Peyton : C’est quoi tout ça ?
Lucas : Oh désolée, je ne voulais pas te réveiller.
Peyton : Comment tu veux que je dorme ?
Lucas : J’ai trouver des distributeurs, t’as faim ? Ca te fera du bien de manger.
Peyton : À la mort de ma mère, mon père était nul en cuisine alors au début on mangeait que pizzas surgelées. Ca a duré des mois, j’adore ça, heureusement ! C’était terrible, il prenait des pizzas toutes bêtes et il y ajouter plein de truc en plus dessus : poivrons, viandes hachées, patates, ou même ananas.
Lucas : Ca devait être quelque chose !
Peyton : C’était très très bon. Il faisait ça en partie pour me faire rire, il voulait m’aider à oublier la peine.
Le réveille sonne, il est 4h45. Lucas l’éteint.
Lucas : T’es prête ?
Peyton : Pas vraiment. En route.
Ils se lèvent et sortent.
Le matin chez dan dans la cuisine, May et Deb …
Deb : Bonjour.
May : Bonjour. Je fais une omelette ou plutôt des oeufs durs ?
Deb : Ni l’un ni l’autre pour moi. A mon avis, personne n’aura faim.
May : Roy méritait que tu l’envoies sur les roses, Déborah. Je sais bien qu’aujourd’hui Dan m’en veut mais c’était il y a 20 ans et j’en est eu assez de mentir. Alors, j’ai fait ce que j’ai juger le mieux pour mon fils.
Deb : C’est notre rôle de mère, je vous remercie d’avoir mis fin au mensonge.
Dan arrive
May : Dan ? Mon chéri, un jour tu comprendras que je t’ai rendu service en révélant la vérité. Je sais que ton père finira par tirer un trait sur tout ça. Mais si tu laisses l’histoire se répéter, ton fils risque de ne pas s’en remettre.
Dan : Je vais faire mon jogging.
May : Bon allez, va pour l’omelette !
Dans le couloir de la maison, Nathan et Roy se croisent.
Roy : Ecoute Nathan, c’est pas une période facile pour toi, et je suis désolé pour ton père.
Nathan : En fait je comprends ce qu’il l’a poussé à faire ça, grand-père. Je crois qu’il t’aimait vraiment beaucoup parce qu’il aurait fait n’importe quoi pour ne pas te décevoir.
A la morgue, le médecin légiste fait entre Lucas et Peyton. Peyton hoche la tête et le médecin soulève le drap …
Peyton : C’est pas lui. Elle s’effondre dans les bras de Lucas qui la réconforte.
Devant la morgue
Lucas : T’as assuré.
Peyton : J’ai eu l’impression que mon cœur allait explosé.
Lucas cherche son portable, ils appellent Brooke.
Brooke : Vous êtes chez Peyton. ?
Lucas : C’est moi.
Brooke : Ah c’est fou j’allais justement t’appeler.
Lucas : J’ai des bonnes nouvelles, rassure-toi.
Brooke : Oui je sais, les gardes-côtes viennent d’appeler. Ils ont retrouvé le bateau du père de Peyton. Il est sain et sauf.
Lucas (à Peyton) : Ah on a retrouver ton père il va bien (Peyton saute dans les bras de Lucas). C’est super, on rentre.
Brooke : Oui à bientôt. Bisous.
Lucas : A tout à l’heure.
Peyton : Oh c’est génial. Je …C’est pas vrai…
Lucas : Quoi ?
Peyton : Mon br. … bracelet, je l’ai plus, il doit être au motel.
Lucas : On va allez voir.
Chez Haley, elle tape sur son ordinateur quand Nathan arrive.
Nathan : Salut toi !
Haley : Tiens !
Nathan : Ma grand-mère prépare un brunch, le show commence à 9h. Ca te branche ?
Haley : La soirée d’hier était charmante, Nathan, mais là, j’ai eu ma dose. Tu sais, j’ai bien réfléchis. Tu connais la vérité sur ton père alors tu es libre. Je veux dire maintenant que tu sais qu’il t’a menti, vous n’êtes plus en compétition. Finie la pression !
Nathan : Ouais, si seulement c’était vrai !
Haley : Comment ça ?
Nathan : Mon père a baissé les bras, c’est ça que son père lui a jamais pardonné. Je vais reprendre le basket.
Haley : Nathan, je …
Nathan : Il faut que je fasse mieux que lui Haley. C’est la seule façon de me libérer de son emprise.
Au motel, Peyton rentre et cherche son bracelet sur le lit.
Peyton : Il est forcément là.
Elle le cherche et le retrouve.
Lucas : Tu vois, il était là.
Elle se met à pleurer.
Lucas : Eh Peyton, ça va aller maintenant.
Ils se serrent dans les bras. Ils se regardent. Ils s’embrassent. Il lui enlève sa veste, il l’enlève la sienne, ils se mettent sur le lit en s’embrassant, il lui enlève son t-shirt, le sien, mais les cheveux de Peyton se coince dans le collier de Lucas.
Peyton : Aie.
Lucas : Désolé.
Peyton : Mes cheveux, ils se sont pris dans ton collier (elle lui enlève).
Lucas : Brooke.
Peyton : Quoi ?
Lucas : C’est Brooke qui m’a offert ce collier. Ecoute, Peyton, je crois qu’on ferait mieux d’y aller.
Peyton : Ouais.
Lucas : En route.
Peyton reste quelques secondes sur le lit avec le collier contre elle …
Au brunch chez Dan, ils petit déjeunent : Roy, May, Keith, Dan, Déborah et Nathan. C’est silencieux.
Roy : Alors Keith, ça marche les affaires ?
Keith : Comme d’habitude.
Roy : Bien. Oh je te taquine souvent fiston mais ça ne veut pas dire que je ne t’estime pas.
Keith : Merci papa. Dommage que tu ne sois gentil avec moi que pour te venger de Dan.
Roy : Mais non je …
May : Ca suffit ! J’aimerais qu’on déjeune tranquillement si possible ! Dan ? Tu n’as même pas ouvert tes cadeaux hier soir, tiens c’est celui de ton père et moi.
Dan : Oh merci !! (Il déballe). Mais qu’est ce que c’est ?
May : C’est un patchwork. Je l’ai fait faire par une couturière d’Orlando. On avait gardé toutes tes affaires de basket à la maison, je ne pouvais tout de même pas les jeter ! Tu vois mon grand, il a encore des tas de choses dont tu peux être fier.
Dans la cuisine, Dan rejoint Deb avec des plats.
Dan : C’est presque fini ?
Déborah : Oui, heureusement.
Dan : Déborah ? Vu tout ce qui c’est passé, je te remercie de ne pas avoir mis de l’huile sur le feu. Ca va ?
Deb : Non Dan, ça va pas, ni pour moi, ni pour nous. Hier je t’en voulais pour ne pas avoir été honnête et d’avoir menti toutes ces années.
Dan : Déborah …
Deb : Mais je me rends compte que j’en ai fait autant. Je n’ai pas été sincère.
Sur la route, Lucas et Peyton
Lucas : Peyton …
Peyton : Non ! On a fait une bêtise. T’es avec Brooke non ?
Lucas : Ouais.
Peyton : Tout à l’heure, on s’est laissé emporté, ça ne voulait rien dire.
Lucas : Ah non ?
Peyton : On sait tous les deux que si !
Devant chez Dan
Deborah (en serrant May dans se bras) : Bon retour.
Dan aide son père a fermé le coffre, mais lui ne lui dis pas au revoir. Ils s’en vont, laissant Déborah, Dan, Keith et Nathan. Déborah s’en va en retirant le bras que Dan avait mis sur ses épaules.
Keith : Salut Dan.Dan s’en va sous le regard de son fils qui s’en va à son tour.
Au lycée, Haley regarde Nathan retourner à l’entraînement.
Lucas et Peyton rentrent. Brooke sort et va dans les bras de Peyton.
Brooke : C’est fini. (Elle enlace Lucas). Tu m’as manqué. (Regard entre Lucas et Peyton).Elle prend la main de Peyton puis l’enlace en retournant chez Peyton.
The end