DANS LES EPISODES PRECEDENTS
BOBBY: On a besoin d'un jeune coach dans votre genre.
NATHAN: Je croyais que vous me vouliez comme joueur.
BOBBY: Votre carrière de basketteur pro est terminée, vous devez vous en rendre compte?
BROOKE: Le magasine, la collection, tout ça c'est à toi.
LINDSEY: Il ne comptait rien faire de spécial pour toi, je te signale. Je ne vois pas ce qui peut être plus important que la sortie de ton livre?
LUCAS: Mon mariage, avec Peyton.
PEYTON: C'est Mick, c'est mon père. Je l'ai invitée à venir manger ce soir pour en discuter.
MICK: Tu n'as rien vu et tu me sers un whisky.
CARRIE: C'est pas encore fini.
DAN: Oh si.
ONE TREE HILL
MAISON DE LEYTON
Lucas s'apprête à partir à Omaha, c'est pourquoi il laisses son nouveau livre sur le lit près de Peyton. Celle-ci se réveille.
PEYTON: Dis, pourquoi les garçons font toujours leur bagages cinq minutes avant de partir?
LUCAS: Pour énerver les filles.
PEYTON: Ban, ça marche. C'est un grand jour.
LUCAS: Ouais. Le première séance de dédicace est la plus stressante. Je vais voir Micro tout à l'heure.
PEYTON: Ouais, ça va être chouette. Ce que je trouve bizarre, c'est qu'il organise le lancement de ton livre à Omaha.
LUCAS: On commence par des petites villes histoire de faire monter la sauce avant de passer au plus grandes. Ça a marché la dernière fois.
PEYTON: J'aurais voulu venir avec toi.
LUCAS: Il est pas trop tard.
PEYTON: Oh oui. Ce ne serait pas gênant comme situation, ta fiancée, ton es-fiancée et toi.
LUCAS: Peyton...
PEYTON: Excuses moi. Je sais bien que Lindsey est ton éditrice mais je suis un peu jalouse. Elle va t'avoir une semaine entière pour elle et alors que je reste là avec Mick.
LUCAS: Désolé. Tu sais pourquoi il continue à nier? À priori, c'est ton père, non?
PEYTON: J'en sais rien. Peut être que je me trompes et que c'est pas lui. Quoiqu'il en soit, je m'en sortirai. Ne t'en fais pas pour moi.
LUCAS: C'est pas facile. Je t'appelle en arrivant.
PEYTON: Ouais, d'accord.
LUCAS: Je t'aime.
PEYTON: Moi aussi. Et ne m'oublies pas quand tu passeras à la TV Lucas Scott.
LYCEE TREE HILL
Nathan et Haley marchent dans la cour du lycée.
NATHAN: Tu es sure que ça va? Après tout ce qui s'est passée, le principal comprendra certainement que tu ai besoin de prendre un peu de vacances.
HALEY: Non, merci. Deux semaines à me repasser ces images suffisent, j'ai besoin de recommencer à vivre; au moins ici je penserais à autre chose.
NATHAN: Ok. Si tu as besoin de moi, tu sais où me trouver.
HALEY: Ouais.
NATHAN: On va couper par l'atelier.
HALEY: Tu faisais toujours ça au lycée. Tu sais qu'on n'a pas le droit?
NATHAN: Il y avaient que les coincés qui faisaient le tour.
HALEY: Et moi j'étais tutrice, monsieur.
NATHAN: Ouais, c'est ce que je dis. Tu étais une intello coincée.
HALEY: Tu étais content de me trouver. Sans moi tu n'aurais jamais eu le diplôme.
(Haley et Nathan sont dans l'atelier et Haley voit Sam dans une voiture du garage)
HALEY: Nathan!
Sam et Haley parlent dans sa classe.
HALEY: Je peux savoir pourquoi tu dors dans une voiture dans l'atelier du lycée?
SAM: Je n'ai pas eu le choix c'était ça ou le vieux canapé qui empeste dans la salle ds profs. Vous êtes malades de vous asseoir là-dessus.
HALEY: Pour ta gouverne, je ne m'approche pas de cette horreur. Dis moi, où sont tes parents parce que ça m'étonnerait qu'il vive dans cette bagnole.
SAM: J'ai des parents adoptifs.
HALEY: Je vois. Alors donnes moi leur numéro, s'il te plait? Il faut que j'ai une petite conversation avec eux.
SAM: Hors de question! S'il vous plait, ce serait encore pire après. Ces histoires ne regardent que moi, d'accord?
HALEY: Sam, si tu as des problèmes avec eux il faut que tu me le dises, l'école peut t'aider.
SAM: Non, non, justement tout va bien ce sont les meilleurs parents adoptifs que j'ai jamais eu, je vous le jure. J'ai connu pire. On est beaucoup chez eux, je suis mieux ici.
HALEY: Je suis sure que non et en plus ils ont du paniquer en ne te voyant pas rentrer à la maison hier soir.
SAM: Vous ne comprenez rien. Tout le monde s'en fiche, chez eux je suis invisible. Ils touchent les chèques , ils me cognent pas dessus alors c'est cool. Je vous assure, tout le monde est content alors gâchez pas tout s'il vous plait.
HALEY: Je ne peux pas faire comme si de rien n'était. U n'as que 15 ans, il faut qu'on trouve une solution pour que tu sois plus heureuse.
SAM: vous êtes sympa mais je ne suis pas votre fille. Justement, je suis la fille de personne. C'est comme ça.
HALEY: Sam!
CLOTHES OVER BROS
Brooke entre dans le magasin et trouve Millicent.
MILLICENT: Super! Voilà la meilleure patronne du monde!
BROOKE: Toi, tu as un service à me demander, non?
MILLICENT: Pas du tout et on a beaucoup de travail.
BROOKE: Millie, tu sais que je t'adore mais il faut que tu ouvres les yeux. On est dans un magasin de fringues qui a zéro fringue à vendre et j'ai plus du tout de nouvelles idées.
MILLICENT: Là, je crois que tu fais erreur.
BROOKE: C'est quoi ça?
MILLICENT: Je t'ai noté une liste d'idées.
BROOKE: Et tu as recouvert le tableau avec du tissu?
MILLICENT: C'est pour faire un peu plus d'effet. J'ai toujours rêvé d'enlever un drap sur un truc en disant, et voilà.
BROOKE: C'est l'occasion ou jamais vas-y.
MILLICENT: Et voil...
BROOKE: Sauter en parachute?
MILLICENT: Mais j'ai même pas pu dire, et voilà.
BROOKE: Excuses moi mais merci. C'est vrai que le saut à l'élastique ça a l'air cool mais je ne crois pas que ça aidera ma société a démarrer.
MILLICENT: Justement moi je pense qu'avant de te réoccupé de ta société, tu dois t'occuper un peu plus de toi.
BROOKE: Faire un petit tour en moto, apprendre une langue étrangère, aller à Munich pour la fête de la bière, regarder tous les James bond. Ça me rappelle quelques choses tes idées, comment ça se fait?
MILLICENT: C'est pas étonnant, ce sont les tiennes. Je t'ai souvent entendu parler de choses que tu voulais essayer, Victoria disait toujours que c'était idiot ou que tu n'avais pas le temps.
BROOKE: Et pendant qu'elle disait que je n'avais jamais le droit de profiter un peu de la vie...
MILLICENT: moi, je notais tout pour qu'un beau jour, tu puisses le faire. Et ce beau jour est enfin arrivé, Mlle Davis.
BROOKE: Merci.
RIVERCOURT
Nathan et Skills sont en train de s'entrainer.
SKILLS: Alors tu n'as rien de mieux à me montrer. Je peux savoir à quoi tu joues?
NATHAN: Qu'est-ce qu'il y a? J'ai marqué.
SKILLS: On travaille pas sur ton trois points. Pourquoi tu ne vas as au panier?
NATHAN: Parce que tu bloquais l'accès.
SKILLS: Et bien tu dribbles et tu contournes la défense. Si tes tirs à trois points ne rentrent pas ce jour-là, tu fais quoi? T'as peur du contact, c'est ça?
NATHAN: Tu veux du contact?
SKILLS: Ben voilà un vrai panier comme en NBA.
DEB: Ouaw. Tu es une star chéri!
(Nathan et Skills répondent en même temps)
NATHAN ET SKILLS: Merci!
NATHAN: Aller, donnes le ballon.
STUDIO DE PEYTON
Mick est allongé sur la table de billard avec une bouteille d'alcool à coté de lui. Il se réveille.
PEYTON: Ça t'es arrivé t'être sobre pendant toute une année.
MICK: Je suis le premier guitariste de rock que tu rencontres ou quoi?
PEYTON: Je me le disais aussi.
MICK: Si tu veux bien, j'aimerai bien récupérer mon jeton.
PEYTON: Pour quoi faire? C'est un mensonge, tu viens de l'admettre.
MICK: Tu peux pas comprendre.
PEYTON: Tu as raison. Je ne comprends pas tout et je ne comprends rien à cette histoire. Franchement, j'aurais préféré que tu viennes pas.
MICK: J'aurais été complètement nul comme père, je peux te le dire. C'est pour ça que Ellie et moi on a décidé de te faire adopter. Bon, ça y est. Tu sais tout, tu est contente maintenant?
PEYTON: Tu reviens au bout de 22 ans et tu as rien de mieux de dire à ta fille. Que ça y est, tu sais tout?
MICK: Je t'ai dis que j'étais nul.
PEYTON: Va t'en alors! Merci Papa.
MICK: C'est pour ça que j'ai préféré être sur la route.
ECOLE DE JAMIE
Dan vient chercher Jamie à la sortie de l'école.
JAMIE: Salut grand-père. Où est nounou Debbie?
DAN: C'est moi qui passe te prendre aujourd'hui.
JAMIE: C'est vrai? C'est cool!
(Jamie sort de l'école)
JAMIE: Qu'est-ce qu'on fait alors?
DAN: J'en sais rien. Tu fais quoi d'habitude avec nounou Debbie après l'école?
JAMIE: On va manger des glaces.
DAN: Ca, ça m'étonne de sa part. Elle te laisse vraiment manger des glaces à cette heure-là?
JAMIE: Non. Elle m'oblige à manger des tas de légumes parce que c'est comme ça qu'on devient grand et fort.
DAN: Tu veux que je te dise un secret? Les adultes sont capables de dire n'importe quoi pour te forcer à mange des légumes et souvent c'est pas vrai.
JAMIE: Tu veux dire que même si je mange des carottes, je ne verrai pas dans le noir?
DAN: Non.
JAMIE: Je me suis fait avoir.
RUE DE TREE HILL
Dan et Jamie sont partis chercher une glace quand il aperçoivent Deb avec Skills.
JAMIE: Et on a le droit de faire un vœu pour chaque choux de Bruxelles qu'on mange sans faire la grimace?
DAN: Non, mon grand. Ils ont juste mauvais goût, c'est tout.
JAMIE: oh, c'est pas juste!
DAN: Mange doucement. Ça va te faire mal à la tête si tu avales ça trop vite.
(Dan aperçoit Skills et Deb)
DAN: Ben dis donc, ils s'embêtent pas eux.
JAMIE: C'est normal. Ils se font des bisous tout le temps.
Jamie et Dan s'approchent de Skills et Deb.
DEB: Tu en reveux?
SKILLS: Salut petit!
JAMIE: Salut tonton Skills et nounou Debbie.
DEB: Tu lui donnes de la glace après l'école? Je croyais être une mauvaise nounou.
DAN: Ouais. Désolé le marchand n'avait plus de carottes à infrarouge. Mamy Debbie, je peux te dire un mot?
(Dan et Deb s'écartent)
DAN: Skills est toujours au lycée?
DEB: Ah non, Dan. Il a reçu son diplôme le jour où tu es allé en prison et si tu es venue pour me critiquer, je m'en vais.
DAN: Non, attends. Je voulais te remercier d'avoir accepter de témoigner en ma faveur. Tu as fait ce qu'il fallait.
DEB: Tu crois? C'est bon. Tu as fini?
DAN: Ouais, c'est tout ce que j'avais à dire.
DEB: Parfait. Alors bonne chance pour ta vie.
DAN: Ça ne va pas durer longtemps.
(Deb revient vers Skills et Jamie)
DEB: Tu viens? On s'en va.
SKILLS: D'accord.
DEB: O se retrouve à la maison, chéri.
JAMIE: J'ai mal! J'ai un tambour dans la tête.
DAN: Je te comprends, ça me fais pareil à moi aussi.
JAMIE: Oh ma tête!
CLOTHES OVER BROS
Brooke et Millicent mangent dans le magasin.
BROOKE: T'as mangé tout le poulet aux légumes?
MILLICENT: Ouais, désolée. D'habitude, Micro mange le bœuf et moi je fini tout le poulet aux légumes.
BROOKE: Tu as de la chance que je préfère le bœuf. Tu tiens le coup? J'ai jamais douté de sa part.
MILLICENT: Pour être franc, je préférais qu'il revienne.
BROOKE: Mais si jamais il te manque trop, tu peux retourner là-bas. Tu peux rentrer, je t'assure.
MILLICENT: C'est gentil Brooke mais toi, tu ne m'as jamais laissé tomber alors c'est normal que moi aussi je t'aide.
EXTERIEUR DE L'AEROPORT DE OMAHA
Lucas quitte l'aéroport et retrouve son accompagnateur pour sa tournée.
LUCAS: Bonjour! Lucas Scott.
LON: Lon, je travaille chez Putnam and Pratt.
LUCAS: C'est un plaisir. Lindsey va nous retrouver à la librairie?
LON: Non. Elle est à New York. C'est moi qui m'occupe de votre tournée.
LUCAS: Oh. On m'a pas prévenu. On sera que tous les deux alors?
LON: Ouais.
LUCAS: Le roman vous a plu?
LON: Pour être franc, je n'ai pas eu le temps de le lire mais il est au haut de ma pile Lucas. La comète, c'est ça? J'adore la science-fiction.
LYCEE TREE HILL
Nathan traine dans le couloir et voit Dan qui est dans ses pensées.
NATHAN: Ce couloir te rappelle de bon souvenirs?
DAN: Je venais juste déposer Jamie.
NATHAN: Je sais.
DAN: J'ai appris pour Quentin Fields, c'est moche. Il paraît qu'il jouait bien?
NATHAN: Ouais. Il a été abattue pour rien. C'est une tragédie. On se demande comment quelqu'un a pu faire ça?
DAN: J'ai été content de te voir, fiston.
NATHAN: T'as sauvé ma femme et tu as sauvé mon fils mais tu as tué mon oncle. Il était là à ma place et tu l'as assassiné. Rien ne pourra l'effacer. Au moins, mon fils t'aime.
DAN: Et mon fils me hait.
NATHAN: Les deux.
STUDIO DE PEYTON
PEYTON: Je croyais de t'avoir dit de t'en aller.
MICK: Oui mais je serais bien qu'on discute.
PEYTON: Oui, d'accord. Je veux savoir pourquoi tu ne m'as pas dit tout de suite que tu étais mon vrai père?
MICK: Ton vrai père, c'est qui? Un père tu en a déjà un et je pense qu'il t'a élevé comme il faut alors pourquoi tu te prends la tête avec ça?
PEYTON: Parce que tu aurais du me le dire.
MICK: Alors tu es en rogne parce que je ne t'ai pas dit la vérité.
PEYTON: Non. Non. Si je t'en veux, c'est parce que tu n'étais pas là. Tu es passé à coté de ma vie et j'ai l'impression que tu n'en as absolument rien à faire.
MICK: C'est toi qui as raison. Je pense que me moment est venu pour moi de remettre les voiles.
PEYTON: Parfait. On est d'accord sur une chose au moins.
LIBRAIRIE
Lucas attend pour faire des dédicaces.
LON: Quand je vois ça, j'avoue que ça ne me donne pas vraiment envie de vous lire Lucas.
LUCAS: Et qui a eu la brillante idée de m'installer dans le rayon science fiction et fantaisie?
LON: C'est bien un bouquin sur l'espace?
LUCAS: En réalité, non. La comète est une métaphore, c'est une histoire d'amour.
LON: Ça ne change rien. On se serait installer au plein milieu de la rue, il n'y aurait pas eu plus de monde.
LUCAS: Ça fait plaisir!
Une petite fille vient faire Lucas.
HADLEY: Vous pouvez signez mon livre?
LUCAS: Oui, avec grand plaisir. Comment tu t'appelles?
HADLEY: Hadley.
LUCAS: Hadley? C'est un très joli prénom. Moi, ma meilleure amie s'appelle Haley mais Hadley, c'est mieux je trouve.
HADLEY: C'est vrai?
LUCAS: Tu sais que ça c'est un roman de Gossip Girl?
HADLEY: Ouais. C'est les meilleurs livres du monde.
LUCAS: Tiens.
HADLEY: Vous êtes cool.
Micro arrive dans la librairie.
LUCAS: Micro! Salut, vieux. Je suis content de te voir.
MICRO: C'est la classe d'avoir un copain écrivain. Alors où sont passés tes fans? Je suis le dernier?
LUCAS: Pas vraiment. En fait, tu es le premier.
MICRO: Oh. Oh.
CLOTHES OVER BROS
Haley vient rendre visite à Brooke au magasin.
HALEY: Tu travailles beaucoup trop, Brooke. Tu es sur mon hache. Je te guette.
BROOKE: Je ne travaille pas. Je m'inscris à un concours de saut en parachute. Ça te tente de venir essayer avec moi?
HALEY: C'est gentil mais non merci.
BROOKE: N'es pas peur, Haley. J'ai pris l'école la moins dangereuse du coin.
HALEY: Ouais mais moi je pense qu'elle sont toutes aussi dangereuses. Écoute, ça te plairait de t'occuper d'une enfant abandonnée.
BROOKE: Je sais pas quoi te dire. Tout dépendrait de la situation.
HALEY: Tu te souviens de Sam? C'est la gamine qui a volé dans ton magasin.
BROOKE: Elle vole et elle se retrouve enceinte. Elle est trop jeune pour ça.
HALEY: Non, elle n'est pas enceinte. C'est elle qui a besoin qu'on s'occupe d'elle.
BROOKE: Mais elle est trop vieille pour ça.
HALEY: Non. Elle n'a que quinze ans. On l'a retrouvé endormie dans une voiture dans l'atelier mécanique du lycée et sa famille d'accueil de fichait qu'elle soit dehors.
BROOKE: Ils s'occuperont bien d'elle en prison puisque c'est là qu'elle finira un jour.
HALEY: Non. Je crois qu'elle veut se faire remarquer, c'est tout. Elle se rebelle un peu comme une de mes amies de lycée.
BROOKE: Haley, en ce moment je ne sais pas trop. J'ai autre chose à faire que de surveiller une ado mais c'est gentil quand même. Si tu trouve un bébé en court de rab, je suis prête à en reparler.
HALEY: Je comprends. Je demandais ça à toi au hasard. Je veux l'aider parce que quand je vois Jamie, je sens que je ferais n'importe quoi pour lui mais elle, elle n'a personne. Elle est toute seule. Qui la protège elle?
LIBRAIRIE
Micro attend avec Lucas des fans pour signer des autographes.
LUCAS: Ça y est. Je crois que c'est la honte de ma vie.
MICRO: Il ne faut pas traumatiser.
LUCAS: Je n'ai signer que deux livres de la journée et en plus l'un des deux était un Gossip Girl.
MICRO: Paraît qu'ils sont biens.
LUCAS: Ça me console pas, Micro.
MICRO: Pardon, Lucas. Ils ne lisent peut être pas assez à Omaha.
LUCAS: Au contraire, mon premier livre s'est bien vendu dans le coin. Je me sens très mal.
MICRO: Mais vois le bon coté des choses. Tu as retrouvé un vieux copain.
(Un fan vient vers eux mais c'est pour Micro)
FAN: Je pourrais avoir une photo?
LUCAS: Ouais, bien sur.
FAN: Super, merci. Vous appuyez là, d'accord?
MICRO: Désolé, Lucas.
FAN: Dites-le!
MICRO: On va évité, c'est ridicule.
FAN: s'il vous plait? Dites-le!
MICRO: C'était les sports avec Marvin McFadden, le champion du micro!
FAN: J'adore votre émission! Merci!
MAISON DE NALEY
Nathan vient voir Haley qui est dans le salon.
NATHAN: Alors? T'as vu Brooke?
HALEY: Pour l'instant, elle n'est pas prête à s'occuper d'une ado en difficulté.
NATHAN: Dis lui de venir chez nous.
HALEY: Non. J'y avais pensé mais Jamie n'en a pas mal bavé ces derniers temps et il a besoin de calme.
NATHAN: Ouais et toi aussi.
(Le portable de Nathan sonne)
NATHAN: Allo?
MIKE: Nathan? Mike Wilson. J'ai entendu dire que vous aviez envie de reprendre la compétition.
NATHAN: Oui. C'est vrai.
MIKE: J'ai une proposition à vous faire mais c'est peut être pas exactement ce que vous attendiez.
GYMNASE DE SLAMBALL
Nathan, Jamie et Skills sont venus voir un match.
NATHAN: Ce serait pas bon pour mon dos.
SKILLS: C'est pas génial pour le leur non plus, je pense.
JAMIE: C'est le jeu le plus cool que j'ai jamais vu. Papa, il faut que tu dises oui.
NATHAN: Ouais.
MAISON DE BROOKE
Brooke de regarde dans le miroir de sa salle de bain où il y a des inscriptions suite à son agression. Peyton arrive.
PEYTON: Brooke! Qu'est-ce que s'est que ça?
BROOKE: Il faut que je te parle.
PEYTON: D'accord.
BROOKE: Je t'ai menti, Peyton. Je suis désolée. Je ne suis pas tombée dans les escaliers, je me suis fait agressée.
GYMNASE DE SLAMBALL
Skills et Nathan discutent sur le terrain.
NATHAN: Alors qu'est-ce que tu en penses?
SKILLS: Désolé, j'étais ailleurs.
NATHAN: Est-ce qu'il y a?
SKILLS: Ben je pensais à ta mère. Tu crois qu'elle pourrait se remettre avec ton père un jour?
NATHAN: J'ai pas envie de parler de ça avec toi.
SKILLS: Tu demandes ce qu'il y a, je te réponds. J'ai le droit de penser à ma copine.
NATHAN: Mais tu gardes ça pour toi. Et arrêtes de faire comme si cette histoire avec ma mère était sérieuse.
SKILLS: Je peux savoir ce que tu veux dire?
NATHAN: Tu m'as très bien compris. Les seules personnes qui croient à cette idiotie, c'est toi, elle et Jamie c'est tout.
SKILLS: Regarde-le, ce petit. Ils jouent sur les trampolines, il fait le fou. Il a vécu des moments super traumatisants ces derniers temps mais il a repris le dessus, il ne s'est pas laissez abattre. C'est dingue la force qu'il a.
NATHAN: Il tient ça de sa mère.
SKILLS: Non, il tient ça de vous deux.
(Owen arrive sur le terrain)
OWEN: Regardez moi ça! Il invitent n'importent qui dans cette équipe de cloner.
NATHAN: Ça date pas d'aujourd'hui. Ça va mon vieux?
OWEN: Super.
NATHAN: Tu connais Skills?
OWEN: Bien sur.
SKILLS: Merci.
MAISON DE BROOKE
Brooke et Peyton discutent dans le salon.
PEYTON: Attends! Tu crois vraiment que Victoria aurait pu faire ce genre de chose.
BROOKE: Non. Enfin, j'en sais rien. Je crois que j'avais surtout besoin d'un coupable.
PEYTON: Tu aurais du me dire tout ça plus tôt.
BROOKE: J'aurais bien voulu mais je ne savais pas comment faire.
PEYTON: Je suis ta meilleure amie, tu le sais? On se connait depuis toujours et je ferais n'importe quoi pour toi alors ça me fait de la peine de pas avoir pu t'aider à traverser ça.
BROOKE: tu va trouver ça bête mais j'avais honte qu'un truc comme ça me soit arriver. Je me sentais faible et nulle. Toi, tu venais de te fiancer, si je t'avais parler j'aurais eu l'impression de gâcher ton bonheur
PEYTON: Non! Là, je t'arrête. Dis toi une fois pour toute que je suis là si tu as besoin de moi, quoiqu'il arrive tu pourras toujours compter sur moi.
BROOKE: Promis?
PEYTON: Oui, évidemment que je te le promets. Va falloir que tu me supportes.
BROOKE: Je m'en veux d'avoir été froide et distante. Faut me laisser un peu de temps pour que je redevienne comme avant.
PEYTON: T'as pas à t'inquiéter, je suis là pour toujours.
LIBRAIRIE
LON: Lucas! Il faut qu'on parle.
LUCAS: Oui, je vous écoute. Mais dans la librairie de Seattle, tachez de ne pas m'installer dans le coin science-fiction.
LON: Vous n'allez pas à Seattle.
LUCAS: Et on fait quoi pour le reste de la tournée?
LON: On annule tout. Navrez Lucas.
LUCAS: Tout ça à cause d'une mauvaise journée?
LON: Ouvrez les yeux. Si les gens ne sont pas venus vous voir à Omaha, personne ne viendra vous voir non plus dans les plus grandes villes.
LUCAS: On va voir ça avec Lindsey. Elle, elle croit en moi et à mon livre.
LON: C'est pas elle qui prend ces décisions. Si ça peut vous consoler, en plus elle n'était pas d'accord.
LUCAS: C'est pour ça que vous n'avez pas lu le roman.
LON: Lucas.
LUCAS: Vous vous en doutiez? Vous saviez que ça ne marcherait pas? Ils vous ont envoyé parce qu'il savait que c'était cuit. Vous êtes qui? Le messager de la mort?
LON: J'ai eu pire comme surnom.
LUCAS: et bien, vous les méritiez.
LON: Je suis navré Lucas, rentrer chez vous. Pondez un autre roman, le prochain je vous jure que je le lis.
MAISON DE BROOKE
Brooke et Peyton font des cookies.
PEYTON: Cuisiner avec toi, ça me rappelle des trucs.
BROOKE: Lesquels?
PEYTON: Quand on avait huit ans, tu avais prévenu tes colos d'acheter des cookies pour les faire et gagner pleins d'argent.
BROOKE: Bien sur. Les Brookies.
PEYTON: Les Brookies et le goût était encore pire que le nom.
BROOKE: Tu exagères, ils étaient bons.
PEYTON: Non, ils étaient immondes et tu as faillis mettre le feu chez moi en les cuisant.
BROOKE: Non, c'est pas vrai.
PEYTON: Si, c'est vrai.
BROOKE: Mais il y a qu'un seul détecteur de fumée qui s'est déclenché sans raison et ton père m'a accusé d'avoir mis le feu il m'en voulait à mort.
PEYTON: Non. Il a eu peur pour nous, c'est tout.
BROOKE: C'était agréable que quelqu'un s'inquiète pour moi, j'avais pas l'habitude.
PEYTON: Tiens. En parlant de Larry, il n'y a pas que toi qui as des petits secrets. J'aurais du te le dire tout de suite. J'ai vu mon père naturel!
BROOKE: C'est vrai!
PEYTON: C'est Mick, le guitariste.
BROOKE: Tu plaisantes. Alors comment il est?
PEYTON: C'est pas le père idéal. Enfin, c'est cool que ce soit un musicien mais je t'avoue que c'est pas tout à fait le genre d'homme que j'espérais.
BROOKE: Je suis vraiment navrée Peyton. Je sais que c'est pas facile. Dommage qu'on ne puisse pas choisir nos parents.
PEYTON: Ouais mais quand je vois Larry, je trouve ça plutôt cool que lui m'est choisi.
DANS UNE RUE A OMAHA
MICRO: Désolé que ta visite à Omaha ait été aussi décevante.
LUCAS: Non. C'est pas grave. J'ai quand même signer deux bouquins dont un était de moi. Bon et toi alors? Omaha est aussi bien que tu l'espérais?
MICRO: La ville est chouette, tout le monde adore le sport ici. Le championnat annuel de baseball les rend fou, toute la ville en parle et je fais le boulot dont j'ai toujours rêvé.
LUCAS: Ouais. Tu as trouvé ta place, toi.
MICRO: Pourtant je ne suis pas très à l'aise. En tout cas, pas sans Millie.
LUCAS: Ouais. Comment ça se passe avec elle?
MICRO: Ça n'a pas été facile. Franchement, je suis perdu quand elle n'est pas là mais elle sait ce que ce travail représente pour moi alors on va se débrouiller.
LUCAS: Je suis sur que oui.
MICRO: Ça ne t'ennuie pas trop de rentrer directement à Tree Hill?
LUCAS: Non, ça va. Comme ma mère me le disait toujours, même si tu as passé une sale journée, quelqu'un d'autre en a surement passé une pire alors sourit et tache de te concentrer sur les points positifs et elle a raison, j'ai passé la journée avec un de mes meilleurs amis et ce soir je rentre retrouver Peyton.
MICRO: C'est vrai que c'est une bonne journée.
LUCAS: Je vais pas te mentir, je suis déçu. J'étais content d'aller parler de mon livre. On devait visiter des tas de villes. J'aurais bien voulu profiter de mes deux semaines de gloire.
MICRO: Je comprends ce que tu ressens.
GYMNASE DE SLAMBALL
OWEN: Alors ça te plait Jamie? C'est super, non?
JAMIE: Désolé. Je joue pour l'équipe Brooke.
NATHAN: Tu t'es fait snober!
OWEN: Ouais et il a pas tord.
NATHAN: J'y crois pas.
OWEN: J'étais nul avec Brooke.
NATHAN: C'est truc là, ça ne me regarde pas.
OWEN: Alors qu'est-ce que tu en penses? Tu viens t'amuser avec nous? On a besoin d'un attaquant.
NATHAN: J'en sais trop rien.
OWEN: On se marre bien. On saute et on vole comme des super-héros. C'est vraiment quelque chose.
NATHAN: Ouais. Mais j'ai peu que mon dos supporte mal ce genre de fantaisie.
OWEN: C'est pas si terrible, tu sais que le parquet est sur ressort. C'est surement beaucoup plus souple que tes terrains habituelles?
NATHAN: Ouais mais sur mes terrains habituelles on n'a pas le droit de se rentrer dans le lard.
OWEN: Si tu veux pas te faire rentrer dedans, il suffit d'esquiver les coups. C'est pas méchant.
CLOTHES OVER BROS
Millicent parle avec Micro sur l'ordinateur. Brooke arrive au magasin.
MICRO: Alors qu'est-ce que tu en dis?
MILLICENT: Pour un garçon qui a trop de fond de teint, tu es plutôt mignon.
MICRO: Merci. Tu me manques. Omaha est triste et froid sans toi.
MILLICENT: Et Tree Hill n'a aucun charme sans toi. Bonne émission. On se rappelle tout à l'heure.
(Brooke arrive)
MILLICENT: Bonsoir. Tu tombes bien, j'allais rentrer. Qu'est-ce que s'est que ça?
BROOKE: Des cookies. Il sont un peu cramés mais c'est l'intention alors bon appétit.
MILLICENT: Oh, t'es un ange. Au fait, j'ai pris la liberté d'ajouter quelques idées.
BROOKE: « Être mère ».
MILLICENT: Être seule, c'est pas très drôle.
CHAMBRE D'HOTEL A OMAHA
Lucas est dans sa chambre d'hôtel, il regarde l'émission de Micro quand son portable sonne.
MICRO(à la TV): Avant de passer aux nombreux résultats du jour, je voulais revenir brièvement sur un commentaire que j'ai fait sur le sujet de Darren Rivers. Pour ceux d'entre vous qui reviennent juste de Mars, Darren est le quaterback qui a choqué le monde du foot le mois dernier en annonçant qu'il prenait sa retraite refusant le contrat de 68 millions de dollars que lui proposé son club parce qu'il voulait passer plus de temps avec sa famille. Tout naturellement, je vais afficher un crétinomètre avec le visage de notre amie Darren et je lui avais donner 6/10 mais à la réflexion, il n'est peut être pas si crétin que ça car Darren a compris que ce n'est pas l'argent qui compte. Quelques fois on perd de vue les choses qui importent vraiment dans la vie donc je remercie Darren de m'avoir ouvert les yeux et lui présente mes plus sincères excuses et je fait repasser son score au crétinomètre de 6 à 3. je ne peux pas aller en dessous parce qu'il a quand même refuser un gros paquet d'argent. Et maintenant les scores de base-ball, en première division...
(Le portable de Lucas sonne)
LUCAS: Allo?
PEYTON: Salut comment va mon grand écrivain?
LUCAS: Justement il était en train de penser à sa fiancée.
PEYTON: Oh tu veux que je te laisses un quart d'heure pour finir.
LUCAS: Non, je faisais ma valise.
PEYTON: Tu t'en vas vers Seattle?
LUCAS: Non, je rentre direct à la maison. Ils ont annulé ma tournée.
PEYTON: Tu plaisantes ou quoi? Mais pourquoi?
LUCAS: Aucune importance.
PEYTON: Mais si, bien sur que c'est important. T'as bossé comme un fou là-dessus.
LUCAS: Non, ça va. Je t'assure. Tu m'attend chez nous, c'est tout ce qui m'importe et en plus c'est ce roman qui nous a permis de nous retrouver alors à mes yeux, c'est le meilleur.
PEYTON: Alors je reviens moi vite. Je t'aime.
LUCAS: Moi aussi, je t'aime. Je serais bientôt là. Bisous.
BAR
Brooke vient voir Sam pour lui annoncer quelque chose.
SAM: Qu'est-ce que vous voulez?
BROOKE: Il est tard pour trainer dehors.
SAM: J'ai pas de couvre feu, moi.
BROOKE: Ouais. J'en avais pas non plus à ton age. Mes parents avaient autre chose à faire mais ils me prêtaient leur carte de crédit.
SAM: Vous aviez de la chance.
BROOKE: Non, pas trop. J'aurais préféré qu'il s'occupe de moi de temps en temps.
SAM: Les parents, ça sert à rien.
BROOKE: Ça dépend des parents. Y'a deux semaines ma mère m'a dit qu'elle n'avait pas voulu de moi.
SAM: Ouais la mienne m'a abandonné juste après ma naissance donc elle ne voulait pas de moi non plus sauf qu'elle n'a pas attendu 35 ans pour le dire.
BROOKE: J'ai pas 35 ans. T'es folle ou quoi? Tu trouves que j'ai l'air d'avoir 35 ans?!
SAM: Je sais pas du tout. Écoutez, il vaut mieux que j'y aille, de toute façon, vous avez raison il est tard.
BROOKE: Attends! J'ai quelque chose à te dire. Tu t'attends sans doute pas à ça et ça m'etonne un peu moi-même d'ailleurs mais j'ai une chambre de libre. Si ça te dit, tu peux vivre chez moi. Tu pourras aller et venir comme tu voudras, faire ce que tu veux. Qu'est-ce que tu en penses?
SAM: C'est pas nécessaire, je me suis toujours débrouiller toute seule.
BROOKE: Oui, je sais mais tu ne devrais pas avoir à le faire. Si t'es pas à l'aise dans la maison, tu pourras toujours dormir dans ma voiture!
STUDIO DE PEYTON
Mick vient dire au revoir à Peyton.
PEYTON: Tu donnes pas signe de vie pendant 22 ans et maintenant tu ne veux plus t'en aller.
MICK: Je voulais te donner un truc avant de partir. Ce jeton est la seule chose que je possède qui a un sens alors je te le donne. C'est Ellie qui l'a gagné l'année où elle était enceinte de toi et si tu veux tout savoir, tu lui as sauvé la vie. Elle n'a pas bu la moindre goutte d'alcool pendant sa grossesse et ça n'a pas été facile pour elle mais le plus dure ça été après quand elle a du te dire au revoir.
PEYTON: Alors pourquoi elle l'a fait?
MICK: Parce qu'on savait que tu aurais une meilleure vie. On pouvait pas élever un enfant, pas dans notre monde mais je crois que Ellie n'a jamais pu s'en remettre.
PEYTON: Pourquoi tu me dis ça que maintenant?
MICK: Je ne sais pas. Peut être que j'avais peur de ne pas être à la hauteur du père que tu t'étais imaginé. Ça doit être un type bien mieux que moi, surement plus héroïque et je crois qu'au fond je ne voulais pas te décevoir. Voilà, c'est tout. J'ai appelé quelques amis et on m'a engagé sur une tournée de plusieurs semaines. C'est ça ma vie alors je suis désolé. Au revoir, Peyton. « Tout le monde part un jour ». Quelques fois, ça vaut mieux, non? Ouais mais tu t'en fiches. Je te trouve génial. Aller, salut.
PEYTON: Mick! Je te remercie.
MICK: Pour quoi?
PEYTON: De m'avoir abandonné.
MAISON DE NALEY
Deb entre dans la cuisine et découvre des fleurs lui étant destiné sur la table. C'est de Dan.
DEB: Oh. Ugh.
(Deb jette les fleurs à la poubelle et Skills frappe à la porte)
SKILLS: Bonsoir. Je t'ai apporté ça. Tu mérites d'avoir un petit ami qui te couvre de fleurs.
DEB: Elles sont magnifiques.
A L'AEROPORT
Lucas attend son avion, Micro vient le voir.
LUCAS: Tiens, je t'ai vu à la télé.
MICRO: Alors tu en as pensé quoi?
LUCAS: T'es super Micro.
MICRO: Merci Lucas. Ton avion est à quelle heure?
LUCAS: J'embarque dans une heure.
MICRO: J'ai une idée assez drôle. Tu devrais pas embarquer.
LUCAS: Tu sais que je t'adore Micro mais je ne serais pas ta Millie.
MICRO: Ça te dirait de rentrer en voiture avec moi?
LUCAS: Tu rentres à la maison?
MICRO: Je crois que je ne suis pas vraiment parti.
LUCAS: Et tu es prêt à laisser tomber le boulot de tes rêves?
MICRO: Tu choisis le boulot ou l'amour?
LUCAS: Je choisis l'amour.
MICRO: Y'a pas photo. J'ai l'impression d'être l'employer le moins stable du monde mais je m'en fiche. Millie et mes amis de Tree Hill me manquent trop. Il m'a fallut du temps pour comprendre ce qui comptait.
LUCAS: D'accord, on y va.
MICRO: Ouais.
LUCAS: Mais c'est moi qui conduit, tu as un roman à lire.
MICRO: Tu vas me faire lire ton bouquin alors que tu seras assis à coté de moi?
LUCAS: D'un bout à l'autre et après je t'interroge.
MICRO: Une chance que j'aime la science-fiction.
LUCAS: Arrêtes!
RIVERCOURT
Haley vient voir Nathan qui s'entraine.
HALEY: Ils t'ont pris dans t'équipe?
NATHAN: Ouais. J'ai plus qu'à demander l'avis de ma femme. C'est une ligue différente.
HALEY: Différente en quoi?
NATHAN: Ben le jeu s'appelle du slamball.
HALEY: Tu as dit du slamball?
NATHAN: Ouais.
HALEY: c'est une variante violente du basket, c'est ça?
NATHAN: Non. Ça s'appelle comme ça parce qu'on fait beaucoup de smash et qu'on saute. Ouais, c'est assez brutal. J'ai pas envie d'arrêter le basket mais aucune équipe n'acceptera de me faire passer des tests si je ne prouve pas que je suis en forme alors je sais pas.
HALEY: Tu crois que tu peux encore jouer au basket?
NATHAN: Je suis certain.
HALEY: Tu veux dire qu'on te donnera pas ta chance sans ça? Marque un panier!
(Il tire et il marque)
HALEY: Recule d'un mètre et recommence de là.
(il relance et il marque)
HALEY: Encore une fois!
(Il relance encore une fois et il marque)
HALEY: Ils sont complètement idiots de ne pas te faire passer des tests. D'accord, vas jouer au slamball.
NATHAN: T'es sure?
HALEY: Ouais. Ce coup-ci, c'est vraiment un come-back Nathan Scott.
MAISON DE BROOKE
Brooke montre où est la chambre de Sam.
BROOKE: Voilà, c'est ici. Qu'est-ce que tu en dis? C'est ta chambre.
SAM: J'ai jamais eu une chambre à moi.
BROOKE: Et interdit au garçon.
SAM: Ok.
Brooke entre dans la salle de bain et découvre sur son miroir que Peyton a changé les mots qu'elle avait écrit après son agression puis avec le message: je t'aime Brooke Davis.
BROOKE: Moi aussi, je t'aime miss Sawyer.
STUDIO DE PEYTON
Peyton téléphone à Larry.
PEYTON: Allo? Salut. Comment ça va? Non, tout va bien Papa. Tu n'as pas à t'inquiéter. Je voulais juste de dire je t'aime et te remercier d'être mon père, c'est tout. Tu me manques, toi aussi. Non, ça ça va mais ouais...
CHAMBRE DE JAMIE
HALEY: La vie n'a pas été marrante ces derniers temps. Tu tiens le coup?
JAMIE: Je fais des cauchemars et j'ai un peu peur, surtout la nuit.
HALEY: C'est vrai? Tu veux que je te dises un secret?
JAMIE: Ouais.
HALEY: Moi aussi, j'ai peur des fois. Tiens, je crois que j'ai une bonne idée. Et si je dormais avec toi ce soir au cas où j'aurais la frousse?
JAMIE: Si tu veux. Je te protègerais comme ça.
HALEY: Oh, génial.
NATHAN: Et si moi j'ai peur tout seul?
JAMIE: Je te protègerais aussi, viens. On va te faire une place.
NATHAN: Heureusement que tu es là.
JAMIE: On va être serré. Et attention, je suis là!
SUR LA ROUTE
Lucas et Micro rentrent à Tree Hill.
LUCAS: Alors Micro, comment tu trouves ça?
MICRO: Arrêtes de me poser la question toutes les cinq minutes où je balance le bouquin par la fenêtre!
LUCAS: C'est le seul exemplaire signer, il aura de la valeur. Je crois qu'on t'oubliera jamais à Omaha.
MICRO: C'est beau comme un roman ce que tu dis.
LUCAS: Très drôle.
Fin de l'épisode.